Citation de: mayrton le 24 février 2009 à 08:18:23

Mdr. Vous evez tous vu le film "les motards sauvages"?..avec  travolta, etc..
Ban Les los fuegos ce sont des bikers, nous on pourait faire une parodie mais avec des motos spotives...Le scenarios est là.
Une parodie ! je vote pour.

C'était pas plutôt "Bande de sauvages"
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=110242.html

OUI OUi c'était bien "bande de sauvage"..les motards sauvages c'était le nom de la petite bande des quatres.  Merci



EDIT
Mdr, je verrai bien Zedmed faire le policier.

J'étais justement en train de me demander où en était le projet !

Non, parceque je suis retombé sur un texte d'un motard que j'ai eu la chance de croisé lors d'une arsouille sur la route du mont Verdun à Lyon, ca doit remonté à 2003.
Il s'agit d'un texte de Fabio , certains d'entre vous doivent le connaître.
Ce texte m'avait beaucoup ému à l'époque car Fabio l'avait écrit en hommage à Jérôme qui nous a quitté beaucoup trop tôt.LTFD MKT 4'ever.
Donc tout ça pour dire que je verrais bien cette histoire de motards un jour sur un écran.(Avec l'autorisation de Fabio).
Une idée de scénario comme une autre !
Il y a d'ailleurs d'autres histoires sur son blog : http://f.bonaudo.free.fr/
Voici le texte en question :



Cette journée restera à jamais gravé dans ma tête.

C'était au début de l'automne, sur une route du sud de la région parisienne, J'étais fatigué des 4h de route que je venais de faire. Je ne roulais pas très vite, en plus, cette route de forêt est assez traître. Mais je connais chacun de ses virages. La nuit commence à tomber, acompagné par un splendide spectacle de couleurs dans le ciel! Ces dégradés de bleu clair et foncé, les nuages teintés de rose par le soleil couchant, quel plaisir d'enrouler du câble entre ses arbres, de respirer l'odeur de la nature... Je me régale des montées en régime de ma moto, je suis bien, serein, heureux, je vis pleinement ma passion.

Et c'est là que tout va basculer.

Dans une grande courbe, je sens l'avant qui s'échappe, suivi de l'arrière, la moto se couche, nous glissons tout les deux en direction du fossé... sentiment d'impuissance, le bruit du métal qui racle le bitume, mes vêtements qui s'arrachent sur le goudron... puis ma chair qui en fait de même ! Puis c'est le choque avec les éléments... et là, le trou noir...

Quand je reprends mes esprits, Un motard en cuir noir est penché sur moi. Il porte un cuir des années 80, un intégral caractéristique de cette période, avec sa grande visière et sa petite mentonnière. C'est un Nolan de la première génération. Ses yeux pétillent, et sans un mot, il me relève. Et là, je m'aperçois qu'ils sont deux. Son ami a redressé ma moto, elle est là, sur la béquille. Je me relève, sans problème, vais la voir, elle n'a absolument aucune trace de la chute, pas une rayure.

L'un d'eux démarre sa moto, un bruit sourd ! Je les regarde... Il y a une 900 bol d'or et une GS 1000. Elles semblent neuves, elle brille de mille feux dans ce soleil couchant. Leur look année 80, avec les cheveux long sur la nuque, qui dépasse du casque, les pantalons "pattes d'éléphant" me fait sourire.

Je regarde mes genoux, il n'y a aucune trace, mon jean est nickel, comme si j'avais rêver ma chute ! L'un d'eux me lance "Alors, t'attends quoi ? En selle !" Je m'exécute, démarre ma moto. Les voilà tous deux partis comme des balles ! Je les rattrape dans la ligne droite, et ne les lache plus ! Ils attaquent fort... moi aussi ! J'en dépasse un, rattrape le premier dans un droite serré et lui fait l'inter ! Il me rend la politesse avec un exter de toute beauté dans le gauche suivant, avec son collègue dans sa roue ! Quel spectacle de voir celle vieille Honda 900 noir angler a quelque centimètres de moi, d'entendre le son du 4 pattes à refroidissement par air. De sentir l'huile chaude. Je ne me laisse pas faire, et ressors encore plus fort, j'arrive de front avec la 1000 GS rouge sur un grand gauche, on se jette en coeur sur l'angle ! Quel bonheur, voir les arbres autour de nous, le paysage qui s'accélère dans ses lumière fantastiques. Une petite brume c'est lever et stagne dans les champs, l'air c'est rafraîchi, et nous continuons d'attaquer, mes cales pied frottent le bitume, les deux autres saucissonnent dans chaque virage ! La poigne de leur pilote pour tenir ses monstres métalliques m'impressionne, mais je veux rester devant !

Je ne sais pas depuis combien de temps nous nous arsouillons, ce que c'est bon, je passe, ils me repassent, le rythme est à son maximum, on flirte avec la limite à chaque virage, les moteurs prennent les tours à n'en plus pouvoir dans chaque ligne droite, les rapports se passent à la volée les un après les autres, la route nous appartient !

Mes compagnons me jettent des regards, je devine les sourires dans les casques, il en est de même pour moi, je souris ! Malgré une concentration de tout les instants, je me sens bien, comme sur un tapis volant, je fais corps avec les éléments ! Une complicité avec mes nouveaux amis est en train de naître, on s'amuse à ce jeu interdit, mais tellement bon, de la course sur route ! Ce que c'est bon !

Tout à coup, je me retrouve face au soleil, sa lumière m'aveugle, l'horizon tout entier devient lumière, une lumière blanche, mais douce, je me sens attirer par quelque chose, c'est indéfinissable, je ne sens plus la moto, je vole, je suis en transe...

Tout à coup, je me réveille en sursaut, aille ! J'ai mal ! Je souffre !!! Je suis dans un camion de pompier, mes jambes sont en sang, je ne sens plus mon bras droit ! Un pompier est au-dessus de moi, et dit "enfin, tu retrouves tes esprits ! On a eu peur pour toi, on a bien cru que c'etait la fin !" J'essaie de parler, mais aucun son ne sort... Le pompier, assez âgé me dit de rester calme.

"Je me souviens", me dit il, "il y a 20 ans, dans ce même virage, deux jeunes motards ont eu moins de chance que toi ! Ils sont morts ! Je m'en souviens comme si c'etait hier..."

Alors c'etait donc ça ! Mes deux complices, mes deux nouveaux amis, ils m'ont reconduit à la vie !

Après ma convalescence, j'ai retrouvé l'usage de tout mes membres, mais surtout je suis en vie ! Et je me suis racheté une moto, à chaque fois que je l'enfourche, je pense à eux, à cette arsouille dans l'au-delà. Je les sens à mes cotés, j'entends encore le bruit de leurs machines. Je les remercie.

Un petit scénario que je trouve assez drôle.

Le Titre: Rien ne sert de courir.

La période :  de nos jours

Le contexte: La ville

L'histoire: Le feu passe au rouge, un roadster s'arrête, le gars fait ronfler, à ce moment une sportive (type CBR) s'arrête à côté de lui, ils se regardent et commencent à se chauffer. Ensuite une autre sportive encore plus grosse (haya. par exemple) s'ajoute a la partie. Tout le monde attend le feu vert (moment de tension), mais juste avant que le feu passe au vert un motard de la police se met à côté d'eux les vrombissement s'arrête tout de suite, le feu passe au vert et les trois démarre comme des papis. Le flic se barrent. Ils arrivent a un deuxième feu tout calmement. Un scootbite s'arrête à côté d'eux, ils les chauffent, les bruits de moteurs recommencent la tension est palpable. Le feu passe au vert les trois motos partent comme des malades alors que le scooter démarre tranquillement. Un peu plus loin le scooter passe à côté d'une voiture (ou moto) de police garée sur le bas côté ou les trois motard sont entrain de se faire verbalisés...

Des exemples de scènes :
Les scènes des feux : prise depuis le feu rouge avec les motard alignés.
Lorsque les motard se chauffent : gros plan sur les visages qui se crispent.


Le nombre d'acteurs nécessaire :trois motards, un scootbite, deux motard de la police (ou gendarmerie)

Voila je vai réfléchir à quelque chose d'autre.