Fin de journée de travail
Pour moi retour au berquaille
Chevauchant ma moto
par un temps vraiment beau
roulant a bonne alure
un petit 90 bien sur
la visière entre ouverte
pour laisser l'air froler mon visage
Quand soudain
un frelon mal lecher
eu l'idée de me percuter de plein fouet
sur ma visère il s'etait carrement pulveriser*1
ne voyant plus rien,
d'un coup de main,
j'ecartait ce vilain
avec tout son purain*2
puis je repri mon trajet
cette fois la visière baissée
*1 pulveriser (vraiment eclater en plein milieu de la visière)
*2 purain (toute la merde collante qu'il avait répendu sur une sacree surface de la vière)
Bref enfin ce petit poème pour vous rappelez
mes amis
attention l'été arrive
Kyung