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Citation de: the-mustang le 25 février 2011 à 11:44:33Citation de: Maggementron le 24 février 2011 à 13:24:53J'essaie de faire le tri dans tout ce qui a pu me filer ce virus mais je crois que c'est un tout (en fait ce topic c'est un peu comme chez le psy, allongez vous et parlez de votre enfance !) : j'ai appris à passer des vitesses (ok, première-seconde) sur un ptit truc bleu appartenant à un voisin quand j'étais môme, mon père et mon oncle qui me racontaient leurs frasques Lyonnaises à chaque fois qu'ils se retrouvaient MAIS qui m'interdisaient formellement de rouler avec quoi que ce soit qui ait deux roues et un moteur, et les photos de mon grand-père sur sa Harley pendant la guerre...A mon avis ce qui a le plus joué ça devait quand même être de faire comme mon père.A l'adolescence ça a été une sorte de "rêve inatteignable", un truc qu'on met de côté en se disant "ce serait quand même bien cool" mais qu'on sait qu'on ne fera jamais. Les scooters ça faisait kéké, les 50 à boite "petit brêlon pourri", et le gros cube c'était un autre monde quasi-mystique.Puis en fait, suis sorti avec une fille qui prenait son pied à l'arrière d'une meule (le trail d'un certain Viking, pour ne pas le citer ) et ça a encré le truc dans le réel : en fait c'est possible ! Moi aussi je pourrai l'emmener. Et tout les ptits rêves de gosse, tout les soirs où pour tripper je me rappelais comment on passe une vitesse, etc etc... je pouvais le faire.A la moto école j'ai découvert le grand bonheur. Le moteur qui ronronne entre les jambes, cette sensation d'être là ici et maintenant complètement & entièrement vivant, c'est juste unique et ça fait tout oublier.La fille en question par contre, je ne l'ai jamais emmené désolé mais mais par contre qu'est ce qu'il l'a n***ée...ah pardon
Citation de: Maggementron le 24 février 2011 à 13:24:53J'essaie de faire le tri dans tout ce qui a pu me filer ce virus mais je crois que c'est un tout (en fait ce topic c'est un peu comme chez le psy, allongez vous et parlez de votre enfance !) : j'ai appris à passer des vitesses (ok, première-seconde) sur un ptit truc bleu appartenant à un voisin quand j'étais môme, mon père et mon oncle qui me racontaient leurs frasques Lyonnaises à chaque fois qu'ils se retrouvaient MAIS qui m'interdisaient formellement de rouler avec quoi que ce soit qui ait deux roues et un moteur, et les photos de mon grand-père sur sa Harley pendant la guerre...A mon avis ce qui a le plus joué ça devait quand même être de faire comme mon père.A l'adolescence ça a été une sorte de "rêve inatteignable", un truc qu'on met de côté en se disant "ce serait quand même bien cool" mais qu'on sait qu'on ne fera jamais. Les scooters ça faisait kéké, les 50 à boite "petit brêlon pourri", et le gros cube c'était un autre monde quasi-mystique.Puis en fait, suis sorti avec une fille qui prenait son pied à l'arrière d'une meule (le trail d'un certain Viking, pour ne pas le citer ) et ça a encré le truc dans le réel : en fait c'est possible ! Moi aussi je pourrai l'emmener. Et tout les ptits rêves de gosse, tout les soirs où pour tripper je me rappelais comment on passe une vitesse, etc etc... je pouvais le faire.A la moto école j'ai découvert le grand bonheur. Le moteur qui ronronne entre les jambes, cette sensation d'être là ici et maintenant complètement & entièrement vivant, c'est juste unique et ça fait tout oublier.La fille en question par contre, je ne l'ai jamais emmené désolé mais
J'essaie de faire le tri dans tout ce qui a pu me filer ce virus mais je crois que c'est un tout (en fait ce topic c'est un peu comme chez le psy, allongez vous et parlez de votre enfance !) : j'ai appris à passer des vitesses (ok, première-seconde) sur un ptit truc bleu appartenant à un voisin quand j'étais môme, mon père et mon oncle qui me racontaient leurs frasques Lyonnaises à chaque fois qu'ils se retrouvaient MAIS qui m'interdisaient formellement de rouler avec quoi que ce soit qui ait deux roues et un moteur, et les photos de mon grand-père sur sa Harley pendant la guerre...A mon avis ce qui a le plus joué ça devait quand même être de faire comme mon père.A l'adolescence ça a été une sorte de "rêve inatteignable", un truc qu'on met de côté en se disant "ce serait quand même bien cool" mais qu'on sait qu'on ne fera jamais. Les scooters ça faisait kéké, les 50 à boite "petit brêlon pourri", et le gros cube c'était un autre monde quasi-mystique.Puis en fait, suis sorti avec une fille qui prenait son pied à l'arrière d'une meule (le trail d'un certain Viking, pour ne pas le citer ) et ça a encré le truc dans le réel : en fait c'est possible ! Moi aussi je pourrai l'emmener. Et tout les ptits rêves de gosse, tout les soirs où pour tripper je me rappelais comment on passe une vitesse, etc etc... je pouvais le faire.A la moto école j'ai découvert le grand bonheur. Le moteur qui ronronne entre les jambes, cette sensation d'être là ici et maintenant complètement & entièrement vivant, c'est juste unique et ça fait tout oublier.La fille en question par contre, je ne l'ai jamais emmené
Citation de: legone le 25 février 2011 à 12:21:55Citation de: the-mustang le 25 février 2011 à 11:44:33Citation de: Maggementron le 24 février 2011 à 13:24:53J'essaie de faire le tri dans tout ce qui a pu me filer ce virus mais je crois que c'est un tout (en fait ce topic c'est un peu comme chez le psy, allongez vous et parlez de votre enfance !) : j'ai appris à passer des vitesses (ok, première-seconde) sur un ptit truc bleu appartenant à un voisin quand j'étais môme, mon père et mon oncle qui me racontaient leurs frasques Lyonnaises à chaque fois qu'ils se retrouvaient MAIS qui m'interdisaient formellement de rouler avec quoi que ce soit qui ait deux roues et un moteur, et les photos de mon grand-père sur sa Harley pendant la guerre...A mon avis ce qui a le plus joué ça devait quand même être de faire comme mon père.A l'adolescence ça a été une sorte de "rêve inatteignable", un truc qu'on met de côté en se disant "ce serait quand même bien cool" mais qu'on sait qu'on ne fera jamais. Les scooters ça faisait kéké, les 50 à boite "petit brêlon pourri", et le gros cube c'était un autre monde quasi-mystique.Puis en fait, suis sorti avec une fille qui prenait son pied à l'arrière d'une meule (le trail d'un certain Viking, pour ne pas le citer ) et ça a encré le truc dans le réel : en fait c'est possible ! Moi aussi je pourrai l'emmener. Et tout les ptits rêves de gosse, tout les soirs où pour tripper je me rappelais comment on passe une vitesse, etc etc... je pouvais le faire.A la moto école j'ai découvert le grand bonheur. Le moteur qui ronronne entre les jambes, cette sensation d'être là ici et maintenant complètement & entièrement vivant, c'est juste unique et ça fait tout oublier.La fille en question par contre, je ne l'ai jamais emmené désolé mais mais par contre qu'est ce qu'il l'a n***ée...ah pardon Ptain par contre moi j'lai jamais ***** ... a mon grand désespoir
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